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Samedi 9 mai 6 09 /05 /Mai 18:16

Elisabeth fut d'abord celle qui éveilla ma curiosité lorsque R. m'appris qu'Il avait couché avec cette inconnue qui se trouvait dans mon msn, préalablement trouvée sur un site de rencontres. Perverse et incorrigible que je suis, je n'ai pu m'empêcher d'en savoir plus, c'est pourquoi j'ai posé mille et une question à cette fille sur le déroulement de leur soirée. Ce fut un terrible choc pour moi lorsqu'au fil des mots j'ai découvert que mon Maître adoré en avait fouettée une autre. Je me suis imaginé le pire, c'est-à-dire mon abandon certain au profit d'une meilleure soumise que moi.

Après ma conversation avec Elisabeth, celle-ci cessa de donner des nouvelles à mon Maître, aussi R. m'en a voulu d'avoir fait capoter l'un de Ses plans alors que je suis de mon côté une pitoyable recruteuse. La colère de mon Dominant était justifiée, je n'avais effectivement pas à me mêler de ce qui ne me regardait pas. Du reste les révélations de la demoiselle m'ont rendue jalouse car ma peur de ne pas être la préférée de mon Maître était alors devenue très présente, pourtant je suis bien dressée par un être merveilleux et attentif, l'homme le plus fantastique qui soit.

Mais il y a quelques semaines, R. m'a dit qu'elle lui avait de nouveau écrit et que pour me punir je lui serai offerte.

Le jour J est arrivé, nous avions toutes les deux les yeux bandés, mon Maître se tenant d'abord à distance pour admirer l'étonnant spectacle que nous Lui offrions. Cette jeune femme semblait ravie d'être là, me concernant j'ai été accommodée toute la soirée par un goût qui me dégoûtait et ai fait usage de tous mes stratagèmes pour ne pas la laisser glisser sa langue dans ma bouche. En dehors de ce désagrément imprévu, qui me laissait imaginer le pire derrière le voile qui couvrait mes yeux, cette Elisabeth fut une bonne surprise et la soirée finalement distrayante. Mon bandeau retiré, j'avais finalement devant moi une femme bien plus charmante que mon odorat m'avait laissée imaginer.

C'était une sacré salope, une jeune femme pulpeuse aux longs cheveux bruns, en porte-jarretelles et redresse-seins sous sa petite robe noire. Sachant qu'elle arrivait directement du travail, ses collègues ont dû apprécier...

Chienne offerte et prête à tout, j'ai complètement halluciné en voyant comme elle encaissait bien les coups du martinet très douloureux que j'ai offert à mon Propriétaire à une autre époque. Elle était à quatre pattes au-dessus de moi, excitée à en dégouliner de plaisir sur mon corps tant mon Maître est talentueux.

Ce fut vraiment léger et détendu, des instants de plaisir qui se partagent seulement avec les vraies putains avides de sperme... s'il y a des amatrices je suis toute ouïe : )

Laure

Par Laure - Publié dans : Nos frasques
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Lundi 20 avril 1 20 /04 /Avr 23:40
Il y a quelques soirs de cela mon Propriétaire m'a invitée au restaurant japonnais. Lorsqu'un vendeur de roses est arrivé à notre table pour nous en proposer, R. a répondu "non merci' en murmurant ensuite "je l'ai déjà niquée..."

Sur le coup mon Maître a réussi l'exploit de me mettre mal à l'aise, mais finalement ça me fait rire : )

Sa petite pute
Par Laure - Publié dans : Les autres
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Lundi 13 avril 1 13 /04 /Avr 21:54
Après une bonne centaine de cartes distribuées au hasard des jeunes femmes croisées dans différents lieux publics, le jour d'une distribution massive je finis par en donner une à une petite nana qui se trouvait avec son bébé à la fnac junior de Cour Saint-Emilion.

C'était une belle journée, et j'avais distribué tellement de cartes que lorsque je me suis retrouvée au téléphone avec marie, c'est sans la moindre conviction que je lui affirmais, afin de la rassurer, que je l'avais vraiment trouvée très charmante. Effectivemennt, aussi jolie fut-elle, je n'avais absolument aucun souvenir de son apparence.

Suite à des semaines de discussion nous avons fini par recevoir une petite invitation "juste pour boire un verre". Avant d'arriver chez elle, nous étions de mauvaise humeur R. et moi, en train de nous disputer comme des enfants car mon Propriétaire ne supportait plus mes innombrables maladresses.

Le calme fut finalement rétabli lorsqu'elle nous ouvrit la porte. C'était une beauté des îles, avec de longs cheveux noirs et bouclés, un teint proche de la perfection... une robe qui n'en était sûrement pas une, mais plutôt une minuscule tunique vu comme le bout de tissu était court.

Ainsi la demoiselle nous invita chez elle et nous offrit d'abord une pénible conversation qui porta longuement sur ses enfants, ses 34 ans, ses échecs amoureux et blah, blah, blah. Lorsque marie eu envie de fumer une cigarette, elle nous proposa de l'accompagner dehors, mais mon Propriétaire déclina habilement sa proposition afin de me laisser seule avec elle.

Je me suis donc retrouvée sur un grand balcon, par une nuit douce, devant cette superbe créature. J'étais vraiment intimidée et je ne savais vraiment pas comment m'y prendre pour faire en sorte qu'à terme mon Maître puisse la démonter. Par chance elle me retira un poids en m'embrassant soudainement telle une belle salope qui n'attendait que ça.

C'est donc un peu plus détendue que je retournai avec elle au salon. Mais comme convenu auparavant par téléphone, au cas où nous aurions effectivement eu envie de nous amuser toutes les deux ensemble, R. est sagement resté nous regarder dans le fauteuil face à nous.

Marie était vraiment superbe et je me souviens avoir été très agréablement surprise en découvrant sous sa petite tenue estivale un body string en dentelles noires mettant parfaitement en valeur son parfait petit cul bombé. Je me sentais certes un peu complexée par mes propres kilos en trop, mais je n'étais pas peu fière d'avoir réussi à ramener entre nos mains une pareille petite chienne. 

Après avoir ainsi échangé quelques caresses sous les yeux de mon Dominant profitant d'un spectacle un peu maladroit mais tout de même très excitant, rapidement Il nous a rejoint et a su trouver Sa place pour former notre superbe trio d'un soir.

Nous avons très vite fini tels des animaux sauvages sur un grand tapis afin de pouvoir plus aisément entremêler nos corps. Je me souviens de la charmante vision offerte par cette belle salope se tenant debout devant mon Maître la pénétrant, gémissant à n'en plus finir et exhibant à nos regards ses superbes fesses contre lesquelles R. se heurtait à chaque coup de rein.

Je suis restée un long instant sur le tapis à regarder marie s'empaler sur mon Maître confortablement installé dans un fauteuil, me laissant fièrement savourer ma victoire. En effet, après des mois de recherches vaines, cette très belle femme était ma première réussite, et un trophée au physique assez incroyable : )

Finalement, j'ai eu droit à une délicate attention de la part de mon Maître en recevant Sa délicieuse crème grâce à notre vicieuse hôtesse qui Le branla à quelques centimètres de mon visage jusqu'à m'inonder la bouche.

Cette soirée fut une surprise aussi inespérée que prometteuse, mais malheureusement marie s'est très vite trouvée un homme par la suite et n'a pas daigné lui faire d'infidélité avec nous...

Laure
Par Laure - Publié dans : Nos frasques
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Dimanche 29 mars 7 29 /03 /Mars 20:57
Mon Maître et moi nous amusons beaucoup tous les deux et il se trouve que R. a eu envie dimanche dernier de rejouer notre grand classique. Ce fut sûrement la plus belle représentation de la pute et son unique et précieux client. Après avoir été réveillée par un appel de R. j'ai ensuite eu une envie irrésistible de me faire démonter de tous les côtés, aussi je n'ai pas manqué de faire part à mon Dominant de mes envies de chiennes lubriques.

Vers 18h, mon client frappe à ma porte. Surprise qu'Il ne pénètre pas grâce à Ses propres clefs de mon appartement, je m'empresse de venir Lui ouvrir. Un homme charmant se présente alors sous mes yeux, vêtu de noir, prêt à être considéré dès Sa première visite en client privilégié. Néanmoins, aussi excitée que je fus, j'ai pris soin de m'assurer que R. savait comment cela se passait. Il sembla surpris par ce que j'attendais de Lui, c'est-à-dire 10 euros : ) J'ai adoré Son air étonné, je suis sûre qu'Il ne s'y attendait pas compte tenu du mal qu'Il a eu à trouver ma récompense au milieu de Son petit bazar. En fin de compte R. a jeté nonchalamment sur le sol un billet de 5 euros. Mais en bonne putain jouant son rôle jusqu'au bout, en apercevant un billet bleu, j'ai précisé que pour 20 euros Il pourrait me faire tout ce qu'Il voudrait. Tout en découvrant la petite tenue de salope que je portais sous ma jupe, R. me répondit qu'Il préférait d'abord voir ce que je valais avant de me donner le reste. J'avais trop envie de Lui pour protester...

Rapidement mon client pervers finit de se déshabiller afin de s'étendre nu dans mon lit. Sa belle queue était déjà bien raide et je n'ai pas attendu un instant de plus avant de remplir ma petite bouche gourmande. Je me suis régalée de Sa superbe tige tendue, encouragée par les remarques vicieuses de R. Mais contrairement à une professionnelle, je n'avais aucune envie d'en finir au plus vite, je voulais déguster Sa queue, en la sentant partout en moi, avant de boire Sa succulente crème jusqu'à la dernière goutte.




Mais avant d'arriver à mon ambition finale ( me faire inonder de sperme ), nous avons longuement joué ensemble. Ce soir-là je portais un petit string rouge et son porte-jarretelles assorti accompagnés d'une paire de bas noirs. Ayant vraiment l'air d'une prostituée, R. a profité d'une courte pipe avant de m'ordonner de m'allonger. Comprenant Ses intentions qui me rendaient toute humide, je pris les préservatifs que j'avais installés près de nous afin que mon client puisse les utiliser plus facilement. Après avoir vu mes spécialités de jeune putain, R. me montra celles du client vicieux qu'Il fut ce soir là. En m'enfonçant Son sexe raide et gonflé dans ma petite chatte trempée de désir, Il chuchotta que l'une de Ses spécialités à Lui était de baiser les putes sans capote.

C'était divinement bon de Le sentir ainsi me pénétrer. Je ne me souviens pas de tout ce que ce parfait client m'a fait sentir ce dimanche soir, mais je me suis caressée tous les jours en y repensant. C'était tellement exquis, R. m'a baisée une fois encore comme le merveilleux Dieu qu'Il est. J'ai été utilisée par chacun de mes trous, tous ont été comblés de plaisir par la plus belle des queues. Douce, grosse, tendue... raide pendant des heures... Trois ans après je découvre encore les délices de ce sexe incroyable, capable de me bouleverser et de hanter mes pensées les plus salasses. Ce fut vraiment parfait, j'ai adoré la manière dont R. m'a sodomisée comme la dernière des chiennes, mais aussi Sa façon de me traiter en véritable femme objet dévouée à Son bon plaisir...

Je dois apporter demain un body imprégné de mon plaisir à un homme qui ne me touchera jamais. Il sera servi, car si je n'ai rien d'un écrivain talentueux, j'ai tout de la petite salope qui passe sa journée à penser au membre raide de Son Maître. Incapable de me tenir, je n'ai pas résisté à l'envie de me caresser au milieu de mon récit, m'abandonnant aux fabuleux souvenirs offerts par mon pervers adoré.

Comme je l'espérais, mon client préféré s'est finalement répandu dans ma bouche, m'inondant de Son délicieux élixir aussi chaud qu'excitant. Néanmoins, malgré ma prestation de petite pute obéissante qui m'a parue tout à fait acceptable, je n'ai pas obtenu un euro de plus... pire encore, mon Propriétaire a repris les 5 euros gagnés au prix d'un plaisir inimaginable pour payer une partie du dîner : ) 




Mon Maître m'a ensuite fait l'honneur de passer le reste de la nuit avec moi. Nous avons fait une petite séance photo, dont le résultat est tout à Son honneur. N'ayant vraiment pas un corps parfait, R. a fait des miracles. Du reste mon Dominant m'a rapidement prévenue, à peine après m'avoir rempli ma bouche, qu'Il n'en avait pas fini avec moi et qu'Il me sauterait encore.

Comme promis, mon Maître me fit encore ma fête. Il n'y a pas de mot pour décrire ce que j'ai ressenti, assaillie par Sa sublime queue incroyablement dure. J'avais l'impression de planer tellement mon cher R. me faisait du bien, en me faisant découvrir des positions seulement entrevues autrefois dans le kama-sutra, et surtout avec un talent, un savoir-faire, un feeling, je ne sais pas... je ne comprends pas comment c'est possible d'être aussi exceptionnel dans un lit. Ce qui est sûr c'est que je suis folle de mon Maître mais aussi de la merveille du monde entre Ses cuisses. 

Une petite pute comblée par Son incroyable Maître, aussi gentil et adorable que pervers et vicieux, faisant de Lui la perfection faite homme
Par Laure - Publié dans : Moments rares et précieux
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Jeudi 19 mars 4 19 /03 /Mars 18:28

Il y a deux semaines, en sortant de mes cours le samedi soir, mon cher Propriétaire m'a envoyée ces quelques messages.

D'abord "Rentre, je te rejoins sous peu", puis "Rentre te préparer je vais te défoncer le cul" et enfin "Dis moi quand tu es chez toi... Je vais te défoncer les fesses".

Pour avoir déjà été malmenée à maintes reprises lorsque nous fréquentions régulièrement les cabines des sex-shops ou lorsque R. pouvait me recevoir dans Son ancien appartement, j'avais toute confiance en Ses excitantes menaces. Je me suis donc empressée de rentrer chez moi afin de recevoir convenablement mon adorable Dominant.

 

Il faut avant toute chose que je fasse part de l'impressionnante aptitude qu'a mon Maître à avoir Sa superbe queue bien raide durant des heures et des heures, sans oublier que R. est souvent prêt à me remettre dans la bouche Son sexe gonflé seulement quelques dizaines de minutes après avoir réussi à obtenir Sa délicieuse crème. En bref, heureusement que mon Maître ne se contente pas de moi, car face à Sa libido terrifiante, je ne suis vraiment pas de taille.

Tout a donc commencé ce fameux samedi. En arrivant chez moi, mon Propriétaire n'a pas tardé à me prendre comme promis, dans tous les sens, dans toutes les positions, pendant environ deux heures... J'étais vraiment en miettes lorsqu'en fin mon Maître a eu la bonté de m'offrir Son élixir. J'ai tout juste eu le temps de prendre un dîner rapide vers 23h que mon Propriétaire me disait encore, avec une pointe de sadisme, qu'Il n'en avait pas fini avec moi et qu'Il me défoncerait encore dans la nuit. Je L'ai supplié d'épargner mes fesses car vu la fougue avec laquelle mon Maître m'avait empalée quelques minutes avant, je me sentais physiquement incapable d'en supporter encore davantage. Mon Propriétaire m'a baisée comme jamais. Trois ans après, R. est encore capable de me faire vibrer comme personne, de me bouleverser avec Son sexe dont Il fait un usage incroyable... Cette perfection faite homme est mon Dieu, et Il me démonte comme tel.

Dimanche matin, à peine réveillés, mon Maître était déjà au top de Sa forme. Après avoir eu le plaisir de passer une courte nuit aux côtés de l'homme le plus fantastique du monde, j'ai de nouveau eu l'honneur d'être utilisée par Ses soins. Curieuse de découvrir quels effets pouvaient donner un retour de la divine queue de mon Maître entre mes fesses, alors que celles-ci étaient encore endolories par Leur violent traitement de la veille, je n'ai pas cherché à protester. Finalement, R. eu tout juste le temps d'enfoncer légèrement Son gland que je poussai un cri de douleur. Néanmoins je ne fus pas épargnée. Mon Maître m'a ouverte comme une petite pute, m'a enculée jusqu'à ce que j'y prenne de nouveau un certain plaisir, puis jusqu'à ce que mon anus nous fasse comprendre qu'il n'en pouvait plus. Mais j'ai la chance d'avoir un Propriétaire gentil et compréhensif. Loin de m'abandonner à mon humiliation et à mes interrogations quant au fait qu'Il ne pourrait peut-être plus jamais me désirer, R. a eu la délicatesse d'offrir un peu de repos à mes fesses pour s'occuper de mon sexe à la place. Je peux affirmer que jamais je n'ai à ce point été démontée et dépouillée. D'abord il n'y a que mon Maître pour me traiter ainsi, il n'y a que Lui pour me baiser aussi délicieusement bien, mais surtout je ne laisserai personne d'autre me traiter ainsi. Si je me sens honorée d'être utilisée comme un objet sexuel par mon Dominant, ce qui me rend heureuse c'est d'être Sa pute à Lui et je dois dire que mon Maître a un talent certain pour me rappeler ce que je suis, en l'occurrence Son esclave.

Epuisée par ce charmant weekend imprévu, je fus très surprise que mon Propriétaire revienne me rendre visite lundi soir. J'avais cours le lendemain et un travail de plusieurs heures à finir, mais malgré mes petites contraintes, je me suis sentie excitée telle une chienne en chaleur dès que je L'ai aperçu à l'entrée de mon appartement. N'ayant pas réussi à obtenir le précieux jus de mon Maître la veille au matin alors qu'Il s'était mis en quatre pour combler tous mes trous, cela m'avait sérieusement tracassée. Ainsi je Lui ai rapidement sauté sur la queue afin d'obtenir ce que je convoitais depuis la veille. Mon Dieu s'est donc allongé sur mon lit avec les jambes écartées, me permettant ainsi de me tenir par terre en étant à genoux devant Son gros membre dressé. J'ai adoré Le sucer ce soir-là, ce fut vraiment délicieux et mon excitation était toute particulière, encore plus intense qu'en temps normal. J'ai alors eu le privilège de récolter le sperme de mon Maître, par longues giclées chaudes et puissantes. Je pensais qu'après cette rapide fellation ( trente minutes environ, contre une heure ou deux habituellement ), R. allait repartir tel un client qui venait d'obtenir ce qu'Il désirait. Mais en fait non, lorsque je suis ressorti de la salle de bains et que je L'ai trouvé vêtu de Son pyjama, j'ai réalisé qu'Il m'honerait encore par Sa présence dans mon lit cette nuit-là. Il a été très mignon, d'abord allongé dans mon lit en regardant la télé, avant de s'endormir telle une adorable peluche douce et fragile. Je me suis donc empressée de retranscrire le cours d'histologie dentaire que je devais absolument terminer pour le lendemain matin afin de vite Le rejoindre dans mon lit. Il était vraiment fatigué, à tel point qu'Il s'est endormi malgré la lumière ( car mon studio est minuscule donc je ne pouvais pas changer de pièce ), m'offrant l'agréable vision de Son petit corps blotti dans ma couette. En me couchant, moi qui suis frileuse, j'ai compris l'intérêt d'avoir un homme tout chaud pour réchauffer mon lit : )

 

Le mardi matin, j'étais épuisée pour aller en cours. Couchée à 3h, levée à 9h, ce n'est pas pour moi. Néanmoins mon cher Maître a jugé bon de me remettre Sa queue dans la bouche, et incorrigible que je suis, je n'ai pas voulu arrêter de le sucer alors qu'Il me l'avait demandée à deux ou trois reprises ( mais avec la conviction d'un homme qui n'avait aucune envie que Sa queue retourne seule dans Son caleçon ). Au final j'étais trop en retard pour aller en TD lorsque mes lèvres se sont décidées à s'éloigner de Sa queue. Donc au point où nous en étions, nous avons continué à nous amuser.

A noter que dans l'après-midi mon Propriétaire était encore assez en forme pour démonter e. ( une salope qui méritera son article elle aussi ) avec l'aide d'un de ses amis.

Mercredi soir, encore une charmante surprise. Mon Maître a apporté avec Lui Son superbe sexe tendu. Toujours pas remise de mes émotions des jours passés, je fus de nouveau l'heureuse victime des désirs de mon Maître, ainsi que le jeudi matin... Mon Maître a été un peu plus conciliant avec mon anus, néanmoins ma petite chatte en a doublement pris pour son grade en recevant en plus de la superbe queue de mon Propriétaire le petit vibro violet qui me fait dégouliner de plaisir. Là ça commençait à faire vraiment beaucoup pour moi, je sentais mon Maître partout dans mon corps, et Sa queue est suffisamment parfaite pour me combler à elle seule. J'aime Son sexe, ainsi que le talent avec lequel R. le manie dans mes trous, donc cela suffit à faire de moi une esclave heureuse.


D'autre part, je me rends dans une bibliothèque située juste à côté du bureau de mon Maître, c'est pourquoi il est très pratique de nous retrouver lorsque R. le désire. Donc vendredi soir, nous sommes partis ensemble car mon Maître désirait se rendre avec moi à l'exposition consacrée à Gainsbourg. Mon Dominant m'a dit que je n'avais encore pas arrêté une seconde... de quoi? je ne sais pas trop... J'ai passé un bon moment, certes en restant près de Lui car j'adore Le voir et si possible Le toucher, mais j'ai quand même passé bien plus de temps à m'intéresser aux manuscrits, photos et vidéos qu'à Le contempler. Ensuite nous sommes allés prendre notre repas, à emporter, dans un petit restaurant japonnais, grâce à l'argent rapporté par la vente de mes chaussures vernies. Ce fut très agréable, d'une part parce que j'aime plus que tout être avec mon Maître, d'autre part parce que manger est une sorte de passion pour moi, or vu que je suis au régime ce fut d'autant meilleur de profiter de cette courte trêve.

J'ai ensuite entrepris une fellation pour vénérer mon Maître adoré. J'étais en petite forme mais j'ai quand même réussi à obtenir la dernière bonté de mon Maître cette nuit-là. Ce fut délicieux. Ensuite je suis allée prendre soin de moi dans la salle de bains, tout juste le temps de me brosser les dents et de me faire un petit bain de bouche pour soulager ma langue piercée que mon Maître était de nouveau le sexe à la main pour que ma bouche vienne le laper encore un peu. J'étais vraiment épuisée, aussi mon Maître eu la gentillesse de me laisser me reposer un peu, sans m'attraper la tête cette nuit-là en plein milieu de la nuit pour que je descende sous la couette m'occuper de Sa grosse queue. Mais mon réveil le lendemain fut assez rude, avec juste le temps de quelques léchouilles sur Son membre avant de foncer chez mon psy pour 9h. De retour, j'étais enchantée de trouver mon Maître encore dans mon lit, prêt à manger les pains au chocolat que je Lui avais rapporté, ainsi qu'à me prendre de nouveau telle une petite chienne. Ce fut encore fantastique, mon Maître m'a baisée, dans tous les sens encore, jusqu'à ce qu'Il ait eu envie que je le chevauche, pour Le faire jouir finalement en Lui racontant la manière dont j'aurais traité une jeune femme aperçue la veille à l'expo si nous l'avions eu entre nos mains. D'ailleurs, si je suis profondément soumise, je dois bien avouer que l'idée de fouetter moi-même les fesses d'une jeune fille ne me laisse pas indifférente... mais c'est vrai qu'être à quatre pattes côte à côte avec une petite salope pour nous faire dominer en même temps par mon Maître m'excite beaucoup aussi.

Une jeune chienne heureuse, comblée, reconnaissante et fière de Son Maître qui se révèle être de loin de le meilleur coup de Sa vie, et qui sans doute Le restera

Par Laure
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