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Il y a deux semaines, en sortant de mes cours le samedi soir, mon cher Propriétaire m'a envoyée ces quelques messages.
D'abord "Rentre, je te rejoins sous peu", puis "Rentre te préparer je vais te défoncer le cul" et enfin "Dis moi quand tu es chez toi... Je vais te défoncer les fesses".
Pour avoir déjà été malmenée à maintes reprises lorsque nous fréquentions régulièrement les cabines des sex-shops ou lorsque R. pouvait me recevoir dans Son ancien appartement, j'avais toute
confiance en Ses excitantes menaces. Je me suis donc empressée de rentrer chez moi afin de recevoir convenablement mon adorable Dominant.
Il faut avant toute chose que je fasse part de l'impressionnante aptitude qu'a mon Maître à avoir Sa superbe queue bien raide durant des heures et des heures, sans
oublier que R. est souvent prêt à me remettre dans la bouche Son sexe gonflé seulement quelques dizaines de minutes après avoir réussi à obtenir Sa délicieuse crème. En bref,
heureusement que mon Maître ne se contente pas de moi, car face à Sa libido terrifiante, je ne suis vraiment pas de taille.
Tout a donc commencé ce fameux samedi. En arrivant chez moi, mon Propriétaire n'a pas tardé à me prendre comme promis, dans tous les sens, dans toutes les positions, pendant environ deux
heures... J'étais vraiment en miettes lorsqu'en fin mon Maître a eu la bonté de m'offrir Son élixir. J'ai tout juste eu le temps de prendre un dîner rapide vers 23h que mon Propriétaire me disait
encore, avec une pointe de sadisme, qu'Il n'en avait pas fini avec moi et qu'Il me défoncerait encore dans la nuit. Je L'ai supplié d'épargner mes fesses car vu la fougue avec laquelle mon Maître
m'avait empalée quelques minutes avant, je me sentais physiquement incapable d'en supporter encore davantage. Mon Propriétaire m'a baisée comme jamais. Trois ans après, R. est encore capable de
me faire vibrer comme personne, de me bouleverser avec Son sexe dont Il fait un usage incroyable... Cette perfection faite homme est mon Dieu, et Il me démonte comme tel.
Dimanche matin, à peine réveillés, mon Maître était déjà au top de Sa forme. Après avoir eu le plaisir de passer une courte nuit aux côtés de l'homme le plus fantastique du monde, j'ai de nouveau
eu l'honneur d'être utilisée par Ses soins. Curieuse de découvrir quels effets pouvaient donner un retour de la divine queue de mon Maître entre mes fesses, alors que celles-ci étaient encore
endolories par Leur violent traitement de la veille, je n'ai pas cherché à protester. Finalement, R. eu tout juste le temps d'enfoncer légèrement Son gland que je poussai un cri de
douleur. Néanmoins je ne fus pas épargnée. Mon Maître m'a ouverte comme une petite pute, m'a enculée jusqu'à ce que j'y prenne de nouveau un certain plaisir, puis jusqu'à ce que mon anus nous
fasse comprendre qu'il n'en pouvait plus. Mais j'ai la chance d'avoir un Propriétaire gentil et compréhensif. Loin de m'abandonner à mon humiliation et à mes interrogations quant au
fait qu'Il ne pourrait peut-être plus jamais me désirer, R. a eu la délicatesse d'offrir un peu de repos à mes fesses pour s'occuper de mon sexe à la place. Je peux affirmer que jamais je n'ai à
ce point été démontée et dépouillée. D'abord il n'y a que mon Maître pour me traiter ainsi, il n'y a que Lui pour me baiser aussi délicieusement bien, mais surtout je ne laisserai personne
d'autre me traiter ainsi. Si je me sens honorée d'être utilisée comme un objet sexuel par mon Dominant, ce qui me rend heureuse c'est d'être Sa pute à Lui et je dois dire que mon Maître a un
talent certain pour me rappeler ce que je suis, en l'occurrence Son esclave.
Epuisée par ce charmant weekend imprévu, je fus très surprise que mon Propriétaire revienne me rendre visite lundi soir. J'avais cours le lendemain et un travail de plusieurs heures à finir, mais
malgré mes petites contraintes, je me suis sentie excitée telle une chienne en chaleur dès que je L'ai aperçu à l'entrée de mon appartement. N'ayant pas réussi à obtenir le précieux jus de mon
Maître la veille au matin alors qu'Il s'était mis en quatre pour combler tous mes trous, cela m'avait sérieusement tracassée. Ainsi je Lui ai rapidement sauté sur la queue afin d'obtenir ce que
je convoitais depuis la veille. Mon Dieu s'est donc allongé sur mon lit avec les jambes écartées, me permettant ainsi de me tenir par terre en étant à genoux devant Son gros membre dressé. J'ai
adoré Le sucer ce soir-là, ce fut vraiment délicieux et mon excitation était toute particulière, encore plus intense qu'en temps normal. J'ai alors eu le privilège de récolter le sperme de mon
Maître, par longues giclées chaudes et puissantes. Je pensais qu'après cette rapide fellation ( trente minutes environ, contre une heure ou deux habituellement ), R. allait repartir tel un client
qui venait d'obtenir ce qu'Il désirait. Mais en fait non, lorsque je suis ressorti de la salle de bains et que je L'ai trouvé vêtu de Son pyjama, j'ai réalisé qu'Il m'honerait encore par Sa
présence dans mon lit cette nuit-là. Il a été très mignon, d'abord allongé dans mon lit en regardant la télé, avant de s'endormir telle une adorable peluche douce et fragile. Je me suis
donc empressée de retranscrire le cours d'histologie dentaire que je devais absolument terminer pour le lendemain matin afin de vite Le rejoindre dans mon lit. Il était
vraiment fatigué, à tel point qu'Il s'est endormi malgré la lumière ( car mon studio est minuscule donc je ne pouvais pas changer de pièce ), m'offrant l'agréable vision de Son petit corps
blotti dans ma couette. En me couchant, moi qui suis frileuse, j'ai compris l'intérêt d'avoir un homme tout chaud pour réchauffer mon lit : )
Le mardi matin, j'étais épuisée pour aller en cours. Couchée à 3h, levée à 9h, ce n'est pas pour moi. Néanmoins mon cher Maître a jugé bon de me remettre Sa queue
dans la bouche, et incorrigible que je suis, je n'ai pas voulu arrêter de le sucer alors qu'Il me l'avait demandée à deux ou trois reprises ( mais avec la conviction d'un homme qui n'avait aucune
envie que Sa queue retourne seule dans Son caleçon ). Au final j'étais trop en retard pour aller en TD lorsque mes lèvres se sont décidées à s'éloigner de Sa queue. Donc au point où nous en
étions, nous avons continué à nous amuser.
A noter que dans l'après-midi mon Propriétaire était encore assez en forme pour démonter e. ( une salope qui méritera son article elle aussi ) avec l'aide d'un de ses amis.
Mercredi soir, encore une charmante surprise. Mon Maître a apporté avec Lui Son superbe sexe tendu. Toujours pas remise de mes émotions des jours passés, je fus de nouveau l'heureuse victime des
désirs de mon Maître, ainsi que le jeudi matin... Mon Maître a été un peu plus conciliant avec mon anus, néanmoins ma petite chatte en a doublement pris pour son grade en recevant en plus de la
superbe queue de mon Propriétaire le petit vibro violet qui me fait dégouliner de plaisir. Là ça commençait à faire vraiment beaucoup pour moi, je sentais mon Maître partout dans mon
corps, et Sa queue est suffisamment parfaite pour me combler à elle seule. J'aime Son sexe, ainsi que le talent avec lequel R. le manie dans mes trous, donc cela suffit à faire de moi une esclave
heureuse.
D'autre part, je me rends dans une bibliothèque située juste à côté du bureau de mon Maître, c'est pourquoi il est très pratique de nous retrouver lorsque R. le désire. Donc vendredi soir, nous
sommes partis ensemble car mon Maître désirait se rendre avec moi à l'exposition consacrée à Gainsbourg. Mon Dominant m'a dit que je n'avais encore pas arrêté une seconde... de quoi? je ne
sais pas trop... J'ai passé un bon moment, certes en restant près de Lui car j'adore Le voir et si possible Le toucher, mais j'ai quand même passé bien plus de temps à m'intéresser aux
manuscrits, photos et vidéos qu'à Le contempler. Ensuite nous sommes allés prendre notre repas, à emporter, dans un petit restaurant japonnais, grâce à l'argent rapporté par la vente de mes
chaussures vernies. Ce fut très agréable, d'une part parce que j'aime plus que tout être avec mon Maître, d'autre part parce que manger est une sorte de passion pour moi, or vu que je suis au
régime ce fut d'autant meilleur de profiter de cette courte trêve.
J'ai ensuite entrepris une fellation pour vénérer mon Maître adoré. J'étais en petite forme mais j'ai quand même réussi à obtenir la dernière bonté de mon Maître cette nuit-là. Ce fut délicieux.
Ensuite je suis allée prendre soin de moi dans la salle de bains, tout juste le temps de me brosser les dents et de me faire un petit bain de bouche pour soulager ma langue piercée que mon Maître
était de nouveau le sexe à la main pour que ma bouche vienne le laper encore un peu. J'étais vraiment épuisée, aussi mon Maître eu la gentillesse de me laisser me reposer un peu, sans m'attraper
la tête cette nuit-là en plein milieu de la nuit pour que je descende sous la couette m'occuper de Sa grosse queue. Mais mon réveil le lendemain fut assez rude, avec juste le temps de quelques
léchouilles sur Son membre avant de foncer chez mon psy pour 9h. De retour, j'étais enchantée de trouver mon Maître encore dans mon lit, prêt à manger les pains au chocolat que je Lui avais
rapporté, ainsi qu'à me prendre de nouveau telle une petite chienne. Ce fut encore fantastique, mon Maître m'a baisée, dans tous les sens encore, jusqu'à ce qu'Il ait eu envie que je le
chevauche, pour Le faire jouir finalement en Lui racontant la manière dont j'aurais traité une jeune femme aperçue la veille à l'expo si nous l'avions eu entre nos mains. D'ailleurs, si je suis
profondément soumise, je dois bien avouer que l'idée de fouetter moi-même les fesses d'une jeune fille ne me laisse pas indifférente... mais c'est vrai qu'être à quatre pattes côte à côte avec
une petite salope pour nous faire dominer en même temps par mon Maître m'excite beaucoup aussi.
Une jeune chienne heureuse, comblée, reconnaissante et fière de Son Maître qui se révèle être de loin de le meilleur coup de Sa vie, et qui sans doute Le restera