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- : Je suis L. J'appartiens à R. Je suis son esclave. J'aspire à obtenir le rang de soumise. J'ai 20 ans
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Samedi 24 janvier
6
24
/01
/Jan
18:34
Il y a une dizaine de jours, mon cher et tendre Maître a donc fait la rencontre d'une charmante jeune femme de 19 ans via un site internet non spécialisé. Se faisant
d'abord passer pour moi, il a sympathisé avec elle via quelques tchats.
J'ai ensuite téléphoné à la jeune demoiselle, assez perplexe, car j'ai toujours peur que les inconnues ne tiennent pas leurs engagements. Ce fut sans grand intérêt, j'ai eu l'impression de parler à une petite conne prétentieuse, fatigante et loin d'être excitante.
Au cours des discussions avec elle, mon Maître avait pris le temps de travailler sur mon côté "fauchée" afin d'obtenir gratuitement ses faveurs. Mais c'était pour elle une première et m. avait donc envie de me rencontrer seule avant autour d'un verre.
Le jour J, c'est à dire seulement trois jours après son premier échange avec mon Maître, la jeune fille est arrivée de sa campagne. J'étais alors très préoccupée par le fait de ressembler à quelque chose, mais aussi par le rangement de mon minuscule appartement. En effet, il était de mon devoir bien l'acceuillir puisque mon cher R. lui avait proposée de passer la nuit chez moi, en tout bien tout honneur, même si je n'ai qu'un malheureux clic clac.
Lorsque m. est arrivée chez moi, il était environ 21 heures. Je n'étais pas encore prête. Au moment où elle m'a téléphonée du bas de chez moi, j'étais encore en train de tergiverser sur le choix de ma lingerie. Du coup j'ai eu tout juste le temps d'enfiler une petite robe que la jeune pute avait déjà grimpé les six étages de mon immeuble.
J'ai alors ouvert la porte à une grande blonde, assez élancée, d'une humeur manifestement très festive.
L.
J'ai ensuite téléphoné à la jeune demoiselle, assez perplexe, car j'ai toujours peur que les inconnues ne tiennent pas leurs engagements. Ce fut sans grand intérêt, j'ai eu l'impression de parler à une petite conne prétentieuse, fatigante et loin d'être excitante.
Au cours des discussions avec elle, mon Maître avait pris le temps de travailler sur mon côté "fauchée" afin d'obtenir gratuitement ses faveurs. Mais c'était pour elle une première et m. avait donc envie de me rencontrer seule avant autour d'un verre.
Le jour J, c'est à dire seulement trois jours après son premier échange avec mon Maître, la jeune fille est arrivée de sa campagne. J'étais alors très préoccupée par le fait de ressembler à quelque chose, mais aussi par le rangement de mon minuscule appartement. En effet, il était de mon devoir bien l'acceuillir puisque mon cher R. lui avait proposée de passer la nuit chez moi, en tout bien tout honneur, même si je n'ai qu'un malheureux clic clac.
Lorsque m. est arrivée chez moi, il était environ 21 heures. Je n'étais pas encore prête. Au moment où elle m'a téléphonée du bas de chez moi, j'étais encore en train de tergiverser sur le choix de ma lingerie. Du coup j'ai eu tout juste le temps d'enfiler une petite robe que la jeune pute avait déjà grimpé les six étages de mon immeuble.
J'ai alors ouvert la porte à une grande blonde, assez élancée, d'une humeur manifestement très festive.
L.
