A Ses pieds - Le journal de soumise L.
Notre première sortie ensemble dans un club libertin fut cet été au alina sauna. Puisque je cherchais des filles sur des sites comme idf libertine, entre autres, on a
fini par me parler de ce lieu jusqu'alors inconnu.
Cela nous a mené dans un endroit dans lequel il ne faut surtout pas se rendre pour la qualité du décors, mais leurs boissons softs sont très variées et quoi qu'il arrive mon jus de fraise est toujours au rendez-vous : )
Nous avons à peine eu le temps de trouver nos marques qu'une belle jeune femme, petite, menue et au teint mâte s'est présentée. Au cas où la miss n'aurait pas été accompagnée, même si cela semblait peu probable, mon Maître m'a demandée de la brancher afin d'en savoir plus. La demoiselle était belle et bien seule, décidée à faire ses premiers pas dans ce genre de lieu. Ce fut avec nous.
C'était un petit miracle de la trouver ce jour-là, cette fille était plutôt captivante avec son corps qui me faisait plus qu'envie. Nous nous sommes isolés dans une petite pièce dont les murs et le plafond sont tapissés de miroirs. Rapidement nous avons commencé à jouer. D'après mon Maître nous avons pu la ramener avant tout parce qu'elle avait envie d'une femme, donc que c'était grâce à moi qu'Il avait pu la baiser. C'est possible, mais même sans moi, cette fille aurait été folle de ne pas choisir mon Dominant.
J'essayais de trouver ma place dans ce trio improvisé. Rapidement mon rôle est devenu dans ce genre de jeux de m'assurer que la queue de mon Maître reste bien raide afin de m'en occuper discrètement si nécessaire.
Je me souviens que R. a léché cette fille devant moi. Ce fut pour moi un choc assez violent dans la mesure où ce n'était qu'une parfaite inconnue tandis qu'au bout de deux ans et demi, à l'époque, mon Maître n'avait jamais approché Sa bouche de mon sexe.
Par la suite, lorsque la demoiselle fut prête à se laisser prendre, elle se mis d'abord de côté entre Lui et moi. C'etait plutôt agréable. Ensuite mon Maître s'est mis sur elle en missionnaire. Je ne savais plus où me mettre, je regardais la scène comme dans un cauchemar accentué par la lumière verdâtre et les mains baladeuses qui essayaient de s'approcher par une petite fenêtre intérieure obstruée partiellement par quelques barreaux.
Enfin, lorsque ce fut fini, mon Maître pris un peu de temps pour rester étendu avec elle et moi. Nous étions donc face au miroir du plafond et mon Maître m'a dit quelque chose comme "regarde comme elle est belle dans cette position à l'inverse de toi".
Ensuite la discussion commença autour d'un verre. Cette fille avait la trentaine, était écrivain et avait des choses à partager avec mon Propriétaire, que ce soit en littérature, en musique ou en cinéma. J'étais à côté d'eux, comprenant à peine de quoi Ils parlaient et me sentant profondément inculte.
Lorsque cela s'est terminé, nous avons discuté un peu mon Maître et moi sur le chemin qui me conduisait au métro. Ne pouvant pas croire que j'avais bien vu R. lécher cette jeune femme, je Lui ai posé la question. Non seulement je n'avais pas de problème de vue mais en plus mon Propriétaire a précisé qu'Il avait fait ça pour commencer à tenter d'oublier Sa femme, à qui Il réservait cela jusqu'alors, mais que pour ma part je Lui rappelais bien trop cette dernière. J'ai ensuite eu très mal au ventre, avec une immense envie de pleurer, mais cela a fini par passer.
Mon Maître m'a ensuite reprochée de ne rien comprendre à la sensualité et de ne pas savoir me mettre, contrairement à cette fille qui avait visiblement réfléchi à son sex-appeal et qui avait eu le bon sens de se mettre entre nous deux afin de profiter de Sa queue et de moi en même temps.
R. a tenté de garder contact avec elle par mail mais celle-ci préfère d'après Lui séparer sa vie habituelle de cet instant de plaisir secret. De toute façon mon Dominant m'a dit qu'Il ne se voyait pas faire Sa vie avec une telle fille, qui vient se faire prendre dans un club par un inconnu tout en ayant une relation de couple. Cela m'a fait du bien d'entendre cela, car à cette époque je m'attendais à être évincée de Sa vie du jour au lendemain. Bien entendu rien n'est acquis aujourd'hui encore mais je me sens quand même davantage en sécurité, ce qui me permet d'avoir le coeur plus léger face à se type de situation.
L.
Cela nous a mené dans un endroit dans lequel il ne faut surtout pas se rendre pour la qualité du décors, mais leurs boissons softs sont très variées et quoi qu'il arrive mon jus de fraise est toujours au rendez-vous : )
Nous avons à peine eu le temps de trouver nos marques qu'une belle jeune femme, petite, menue et au teint mâte s'est présentée. Au cas où la miss n'aurait pas été accompagnée, même si cela semblait peu probable, mon Maître m'a demandée de la brancher afin d'en savoir plus. La demoiselle était belle et bien seule, décidée à faire ses premiers pas dans ce genre de lieu. Ce fut avec nous.
C'était un petit miracle de la trouver ce jour-là, cette fille était plutôt captivante avec son corps qui me faisait plus qu'envie. Nous nous sommes isolés dans une petite pièce dont les murs et le plafond sont tapissés de miroirs. Rapidement nous avons commencé à jouer. D'après mon Maître nous avons pu la ramener avant tout parce qu'elle avait envie d'une femme, donc que c'était grâce à moi qu'Il avait pu la baiser. C'est possible, mais même sans moi, cette fille aurait été folle de ne pas choisir mon Dominant.
J'essayais de trouver ma place dans ce trio improvisé. Rapidement mon rôle est devenu dans ce genre de jeux de m'assurer que la queue de mon Maître reste bien raide afin de m'en occuper discrètement si nécessaire.
Je me souviens que R. a léché cette fille devant moi. Ce fut pour moi un choc assez violent dans la mesure où ce n'était qu'une parfaite inconnue tandis qu'au bout de deux ans et demi, à l'époque, mon Maître n'avait jamais approché Sa bouche de mon sexe.
Par la suite, lorsque la demoiselle fut prête à se laisser prendre, elle se mis d'abord de côté entre Lui et moi. C'etait plutôt agréable. Ensuite mon Maître s'est mis sur elle en missionnaire. Je ne savais plus où me mettre, je regardais la scène comme dans un cauchemar accentué par la lumière verdâtre et les mains baladeuses qui essayaient de s'approcher par une petite fenêtre intérieure obstruée partiellement par quelques barreaux.
Enfin, lorsque ce fut fini, mon Maître pris un peu de temps pour rester étendu avec elle et moi. Nous étions donc face au miroir du plafond et mon Maître m'a dit quelque chose comme "regarde comme elle est belle dans cette position à l'inverse de toi".
Ensuite la discussion commença autour d'un verre. Cette fille avait la trentaine, était écrivain et avait des choses à partager avec mon Propriétaire, que ce soit en littérature, en musique ou en cinéma. J'étais à côté d'eux, comprenant à peine de quoi Ils parlaient et me sentant profondément inculte.
Lorsque cela s'est terminé, nous avons discuté un peu mon Maître et moi sur le chemin qui me conduisait au métro. Ne pouvant pas croire que j'avais bien vu R. lécher cette jeune femme, je Lui ai posé la question. Non seulement je n'avais pas de problème de vue mais en plus mon Propriétaire a précisé qu'Il avait fait ça pour commencer à tenter d'oublier Sa femme, à qui Il réservait cela jusqu'alors, mais que pour ma part je Lui rappelais bien trop cette dernière. J'ai ensuite eu très mal au ventre, avec une immense envie de pleurer, mais cela a fini par passer.
Mon Maître m'a ensuite reprochée de ne rien comprendre à la sensualité et de ne pas savoir me mettre, contrairement à cette fille qui avait visiblement réfléchi à son sex-appeal et qui avait eu le bon sens de se mettre entre nous deux afin de profiter de Sa queue et de moi en même temps.
R. a tenté de garder contact avec elle par mail mais celle-ci préfère d'après Lui séparer sa vie habituelle de cet instant de plaisir secret. De toute façon mon Dominant m'a dit qu'Il ne se voyait pas faire Sa vie avec une telle fille, qui vient se faire prendre dans un club par un inconnu tout en ayant une relation de couple. Cela m'a fait du bien d'entendre cela, car à cette époque je m'attendais à être évincée de Sa vie du jour au lendemain. Bien entendu rien n'est acquis aujourd'hui encore mais je me sens quand même davantage en sécurité, ce qui me permet d'avoir le coeur plus léger face à se type de situation.
L.
Dim 22 fév 2009
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